Salut les Doers et les Makers, Pour réussir son changement, tout est question de confiance… Mais comment avoir confiance en cette fin d’année qui empile les incertitudes ? Elles se nomment guerre en Ukraine, inflation, réchauffement climatique, explosion de la dette des pays, crypto-krach et récente faillite du géant des crypto FTX… et j’en oublie… Brrrrrr… L’irruption programmée de l’intelligence artificielle (IA) dans notre monde réel et digital va-t-elle nous aider à restaurer la confiance ou nous plonger dans la défiance ? Lors d’un des salons de référence du Big data et de l’intelligence artificielle qui s’est tenu à Paris fin septembre, le débat était présent. Quelques centaines de milliers d’humains programment et introduisent leurs idées, le big data et leurs biais dans l’IA. On est bien loin du monde parfait, souvent encore dans l’expérimentation, mais cela peut tout de même rendre de sacrés services. Les experts, les Doers et les Makers qui travaillent en mode projet, ont tenté d’en fixer les conditions : – multiplier les approches : croiser les moteurs de règles et les modèles d’apprentissage (approche cognitiviste) – maîtriser la traçabilité et l’explicabilité des solutions : l’anti-boîte noire, c’est la confiance – constituer des bases de connaissance partagées : on y parle d’ontologie (concept emprunté à la philosophie de l’être), de ces bases qui organisent l’information entre les individus, les classes, les attributs, les relations, les événements… – naviguer entre exploration et exploitation : expérimenter et produire permettent de partager la courbe d’apprentissage dans un cycle court – gérer la montée en compétence (entreprise apprenante) : avec l’IA, on est dans l’univers des soft skills, et les utilisateurs finaux doivent devenir autonomes Au sein du Parcours des Idées (PdI), on est dans l’intelligence collective et pas (encore) dans l’intelligence artificielle, et pourtant notre propos est le même : – multiplier les approches = regarder une idée de changement sous différents angles grâce à l’utilisation d’une vingtaine d’outils (modèle mental) – naviguer entre exploration et exploitation : une ½ journée d’atelier pour décider du MVP* à produire, puis recommencer – gérer la montée en compétence (entreprise apprenante) : développement des soft skills – faire confiance et autonomiser les équipes dès l’amont de la prise de décision Dans un monde devenu VICA (Volatile, Incertain, Complexe, Ambigu), le PdI c’est l’anti-boîte noire pour réussir et cultiver son changement ! Suivez-nous sur Parcours des Idées #intelligencecollective #innovationpédagogique #changemanagement #incertitude #modelemental |