Salut les Doers et Makers, je dis ce que je fais, je fais ce que je dis et je décide…ensemble = Empowerment.
Ce concept est né aux USA au début du XXème siècle pour définir des politiques de lutte contre la pauvreté et de développement.
L’Empowerment comme conviction
Comment traduire Empowerment : Responsabilisation ? Autonomisation ?
Son usage sort de son champ politique et s’étend au sein des organisations.
En d’autres termes, c’est la délégation de pouvoir ou d’autorité, l’autorisation, l’octroi d’une capacité, l’activation ou la permission…
L’Empowerment est fondé sur la conviction que les employés ont la possibilité de prendre plus de responsabilités et que cela sera profitable à l’entreprise, permettra de mieux prendre soin des besoins de la clientèle,d’améliorer les process.
J’avais pu constater sur le continent Nord Américain, que « l’Organisation et la Transparence » sont au cœur de la réflexion sur l’efficacité opérationnelle, sur le développement du leadership.
Avec l’Empowerment, nous sommes au coeur de la conduite du changement et de l’innovation qui sont chers à l’équipe du Parcours des Idées (PdI) car la méthode est basée sur trois piliers:
- Le Lean management
- L’intelligence collective
- L’utilisation d’un modèle mental (une méthode reproductible) pour décider en équipe
Comment faire en sorte que l’Empowerment ne reste pas un vœu pieux ? Comment rendre concrète cette réflexion sur la place de l’homme dans l’entreprise ?
Une première application simple à tester de façon opérationnelle est la mise en place d’ateliers PdI : des équipes de six personnes peuvent constituer un “backlog” d’idées de changement et d’innovation et décider quelles sont les meilleures idées à mettre en œuvre dans les trois mois pour passer de de l’idée à l’action.